L’avancée numérique, bien que facilitant la connectivité, soulève des préoccupations croissantes quant à la santé mentale. Une étude récente de la Chambre des salariés révèle que plus de la moitié des répondants, en particulier les jeunes salariés, aspirent à travailler moins. Cette demande, partagée par résidents et frontaliers, se traduit par une moyenne de 34,4 heures de travail par semaine, reflétant une réduction de 15 %. Dans un monde hyperconnecté, la réduction du temps de travail émerge comme une solution pour prévenir les effets néfastes de cette hyperconnectivité. Promouvoir la pleine conscience numérique, établir des règles personnelles et favoriser les interactions réelles sont autant de stratégies pour équilibrer notre engagement numérique et notre bien-être mental. La réduction du temps de travail devient impérative pour répondre aux besoins changeants des travailleurs dans cette ère numérique et préserver leur santé mentale.
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